Previsão Sazonal - Primavera/Verão 2013

algarvio1980

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21 Mai 2007
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Olhão (24 m)
Alguém sabe qual tem sido o grau de acerto destas previsões de longo prazo? ou não tem havido controle de qualidade!

A opinião que tenho é que as previsões sazonais não erram assim tanto, nos últimos anos não tem previsto grande calor e os Verões não têem sido muito quentes, em 2010 os modelos previam um verão bastante quente e assim foi, como podes ver, no gráfico que o membro "André" colocou uns posts mais atrás. Aliás, as previsões mensais do IPMA indicam até 16 de Junho, temperaturas abaixo da média no litoral oeste, e essa parece ser a situação padrão do Verão 2013, tendo por base as previsões sazonais do ECM.
 


Gerofil

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21 Mar 2007
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Estremoz
ARTIGO ORIGINAL

Météo 2013 : une année sans été ?

France

Dernière modification le dimanche 26 mai 2013 à 10h05


Alors que le printemps est d’ores et déjà considéré comme l’un des plus frais et des plus maussades de ces 30 dernières années en France, l’actualisation de nos prévisions saisonnières laisse peu d’espoir d’avoir un été digne de ce nom. Le spectre d’une « année sans été » semble plausible sur l’Europe de l’ouest.
Après avoir connu un hiver froid et long, l’Europe de l’ouest s’apprête t’elle à subir un été frais et humide ? il semblerait désormais que ce soit un scénario probable à 70%, y compris sur la France, particulièrement défavorisée depuis le début du printemps. L’élaboration de nos prévisions saisonnières est basée notamment sur l’analyse des principaux modèles numériques (européen et américain en particulier), dont les résultats ne sont pas optimistes : certains calculs envisagent la persistance d’une anomalie froide pendant les 3 mois de l’été (Juin, Juillet, Août) conjuguée à des précipitations excédentaires. Certes, il s’agit d’une moyenne trimestrielle qui ne permet pas de mettre en évidence quelques pics de chaleur ponctuels – normaux en cette saison -, mais la tendance qui se dégage serait celle d’un été pourri sur notre pays.
Des statistiques qui ne jouent pas en notre faveur - Ces données numériques sont également comparées à une analyse statistique afin d’apporter une meilleure fiabilité à ces prévisions : en regardant ce qui s’est passé lors des années où les printemps étaient maussades, on constate qu’à plus de 80%, ils étaient suivis d’été frais et humides. Dans les années 1960 puis à nouveau dans la décennie 2000, aucun printemps « pourri » n’a été suivi d’un réel bel été. Dans les décennies 1970, 80 et 90, on trouve trois exceptions notables : 1975, 1983 et 1995, où les étés furent très chauds mais aussi orageux. Seule l’année 1983 est l’exception qui confirme la règle, avec un mois comparable à celui que nous connaissons, suivi d’un mois de juillet caniculaire.
Des mers trop froides, un anticyclone trop loin - Outre ces statistiques, qui ne présagent pas forcément du résultat, le contexte climatique actuel conforte néanmoins cette hypothèse d’un été frais sur la France : les températures de l’Atlantique, de la Manche, de la Mer du Nord et de la Méditerranée restent nettement plus froides que les normales, ce qui entretient un potentiel d’air froid autour de l’Europe de l’ouest. Compte-tenu de l’ampleur de ce déficit (parfois proche de –5° pour la Manche et la mer du Nord), il est peu probable que le retard soit rattrapé lors des prochaines semaines, ce qui repousse d’autant plus la possibilité de l’installation de la chaleur. C’est pourquoi la façade occidentale du continent semble la plus mal lotie, y compris la péninsule ibérique, alors que la chaleur aura tendance à remonter davantage vers l’Europe de l’est et la Russie.
Autre facteur limitatif de la chaleur durable: l’humidité. De nombreuses études climatiques ont démontré qu’une forte humidité des sols du pourtour méditerranéen annihilait le risque de canicule sur l’Europe ; en effet, la survenance d’une vague de chaleur aboutirait alors à une forte évaporation, et donc à la formation d’orages qui mettraient rapidement fin à cette vague de chaleur. On peut donc s’attendre à quelques pics de chaleur (quelques vagues de chaleur ponctuelles sont possibles), tournant rapidement à l’orage. Là aussi, on note quelques exceptions : en 2006 et en 2009, la France a connu des épisodes caniculaires (surtout dans le sud) alors que les précipitations hivernales et printanières avaient été soutenues sur les pays riverains de la Méditerranée.
Une année sans été ? - La conjonction d’un hiver long et tardif ayant entraîné un refroidissement des eaux des mers et une activité solaire devenue bien faible depuis plusieurs mois peut avoir une conséquence directe sur la météo de notre été : certains calculs envisagent une anomalie de –2° à –3° sur la France avec des cumuls pluviométriques deux fois supérieurs à la normale. Ce scénario nous paraît cependant assez extrême : nous optons donc pour un été restant maussade, ponctué de coups de chaleur de peu de durée suivis d’orages violents. L’on pourrait observer néanmoins une certaine amélioration globale avec un retour à la normale en fin de saison (fin août et septembre), avec un gommage progressive de l’anomalie froide.
C’est en septembre et octobre qu’il pourrait donc faire le plus beau et le plus chaud sur notre pays…
Dans le cadre de la réactualisation mensuelle habituelle, la prévision saisonnière sera mise à jour le dimanche 9 juin.

Fonte: Actualité Météo
 

Mikovski

Cirrus
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29 Nov 2010
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Nem no inverno me lembro de ver a água do mar a 13ºC, segundo mostra o IPMA. Mas isto já indica temperaturas baixas.

Por acaso pensei que este ano fosse ser mais quente porque com a movimentação das placas tectónicas e a atividade de alguns vulcões marítimos como o de El Hierro pudessem aquecer o Atlantico, mas de correntes marítimas não percebo quase nada.

Dizem que os invernos mais frios foram antecedidos por erupções vulcânicas, o que também houve este ano, mas teoricamente só as sentiríamos para o ano que vem.

Falo sem conhecimento de causa, apenas me interesso por metereologia e mudanças climáticas.

Nota para o fraco verão do ano passado em contraste com anos no inicio deste seculo em que não se podia dormir com o calor!
 

Iceberg

Nimbostratus
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5 Jun 2006
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Meus Amigos,

Estamos todos muito influenciados pela «anormalidade» que foram os últimos anos, praticamente desde o início da década de 90, em que sucessivos anos quentes, com alguns Verões muito tórridos, alguns Invernos mais amenos, e sobretudo Primevaras muito antecipadas (Marços muito quentes e secos) e início de Outonos quentes.

Mas recordo-me na minha infância, de ser mais frequente nevar a cotas relativamente baixas, de intensas geadas no interior do país, e por vezes no litoral, dos persistentes nevoeiros gelados no nordeste transmontano, de Primaveras chuvosas e frescas (incluindo as trovoadas de Maio), e de Verões muito suportáveis no litoral (com nortadas e nevoeiros constantes) e normais no interior.

Os últimos vinte anos foram muito específicos, e eu testemunhei bem essa alteração.

Neste momento assistimos a importantes alterações no Ártico, que penso vir a ser o principal motor da próxima fase climática, em conunto com ciclos solares mais débeis, provocando na minha opinião anos mais frios em latitudes médias como a nossa.

Fases de arrefecimento são sempre precedidas por fases de intenso aquecimento, e na minha opinião a próxima glaciação é inevitável, mesmo com a atual influência humana sobre o clima. Logicamente nunca numa escala humana perceptível, mas na minha perspectiva quando daqui a milhares de anos se estudar a nossa atual época, esta será caracterizada como o início da glaciação, com variabilidade climática muito acentuada, como se tem verificado nos últimos mil anos e ainda mais intensamente no último século.

Caso estes dias de Maio fossem de temperaturas acima de 30º e o ano novamente muito quente, não mudaria a minha opinião, para que conste, e para não ser acusado de ser um profeta da glaciação apenas devido a uns meros dias frescos de Maio.

É simplesmente a minha opinião há muitos anos. Estamos a aquecer para congelar.

Cumprimentos a todos.
 

Aurélio

Cumulonimbus
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23 Nov 2006
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ARTIGO ORIGINAL

Météo 2013 : une année sans été ?

France

Dernière modification le dimanche 26 mai 2013 à 10h05


Alors que le printemps est d’ores et déjà considéré comme l’un des plus frais et des plus maussades de ces 30 dernières années en France, l’actualisation de nos prévisions saisonnières laisse peu d’espoir d’avoir un été digne de ce nom. Le spectre d’une « année sans été » semble plausible sur l’Europe de l’ouest.
Après avoir connu un hiver froid et long, l’Europe de l’ouest s’apprête t’elle à subir un été frais et humide ? il semblerait désormais que ce soit un scénario probable à 70%, y compris sur la France, particulièrement défavorisée depuis le début du printemps. L’élaboration de nos prévisions saisonnières est basée notamment sur l’analyse des principaux modèles numériques (européen et américain en particulier), dont les résultats ne sont pas optimistes : certains calculs envisagent la persistance d’une anomalie froide pendant les 3 mois de l’été (Juin, Juillet, Août) conjuguée à des précipitations excédentaires. Certes, il s’agit d’une moyenne trimestrielle qui ne permet pas de mettre en évidence quelques pics de chaleur ponctuels – normaux en cette saison -, mais la tendance qui se dégage serait celle d’un été pourri sur notre pays.
Des statistiques qui ne jouent pas en notre faveur - Ces données numériques sont également comparées à une analyse statistique afin d’apporter une meilleure fiabilité à ces prévisions : en regardant ce qui s’est passé lors des années où les printemps étaient maussades, on constate qu’à plus de 80%, ils étaient suivis d’été frais et humides. Dans les années 1960 puis à nouveau dans la décennie 2000, aucun printemps « pourri » n’a été suivi d’un réel bel été. Dans les décennies 1970, 80 et 90, on trouve trois exceptions notables : 1975, 1983 et 1995, où les étés furent très chauds mais aussi orageux. Seule l’année 1983 est l’exception qui confirme la règle, avec un mois comparable à celui que nous connaissons, suivi d’un mois de juillet caniculaire.
Des mers trop froides, un anticyclone trop loin - Outre ces statistiques, qui ne présagent pas forcément du résultat, le contexte climatique actuel conforte néanmoins cette hypothèse d’un été frais sur la France : les températures de l’Atlantique, de la Manche, de la Mer du Nord et de la Méditerranée restent nettement plus froides que les normales, ce qui entretient un potentiel d’air froid autour de l’Europe de l’ouest. Compte-tenu de l’ampleur de ce déficit (parfois proche de –5° pour la Manche et la mer du Nord), il est peu probable que le retard soit rattrapé lors des prochaines semaines, ce qui repousse d’autant plus la possibilité de l’installation de la chaleur. C’est pourquoi la façade occidentale du continent semble la plus mal lotie, y compris la péninsule ibérique, alors que la chaleur aura tendance à remonter davantage vers l’Europe de l’est et la Russie.
Autre facteur limitatif de la chaleur durable: l’humidité. De nombreuses études climatiques ont démontré qu’une forte humidité des sols du pourtour méditerranéen annihilait le risque de canicule sur l’Europe ; en effet, la survenance d’une vague de chaleur aboutirait alors à une forte évaporation, et donc à la formation d’orages qui mettraient rapidement fin à cette vague de chaleur. On peut donc s’attendre à quelques pics de chaleur (quelques vagues de chaleur ponctuelles sont possibles), tournant rapidement à l’orage. Là aussi, on note quelques exceptions : en 2006 et en 2009, la France a connu des épisodes caniculaires (surtout dans le sud) alors que les précipitations hivernales et printanières avaient été soutenues sur les pays riverains de la Méditerranée.
Une année sans été ? - La conjonction d’un hiver long et tardif ayant entraîné un refroidissement des eaux des mers et une activité solaire devenue bien faible depuis plusieurs mois peut avoir une conséquence directe sur la météo de notre été : certains calculs envisagent une anomalie de –2° à –3° sur la France avec des cumuls pluviométriques deux fois supérieurs à la normale. Ce scénario nous paraît cependant assez extrême : nous optons donc pour un été restant maussade, ponctué de coups de chaleur de peu de durée suivis d’orages violents. L’on pourrait observer néanmoins une certaine amélioration globale avec un retour à la normale en fin de saison (fin août et septembre), avec un gommage progressive de l’anomalie froide.
C’est en septembre et octobre qu’il pourrait donc faire le plus beau et le plus chaud sur notre pays…
Dans le cadre de la réactualisation mensuelle habituelle, la prévision saisonnière sera mise à jour le dimanche 9 juin.

Fonte: Actualité Météo

Depois de meter o artigo no "Google Translater" em nenhum momento li nada que falasse em ano sem Verão na Peninsula Ibérica, nem o Verão mais frio dos ultimos 200 anos, falam si, apenas no estado actual das temperaturas, o prolongamento do Inverno na Europa Central sobretudo, as águas do mar bem mais frias, e o aumento da humidade ou maior humidade em torno do Mediterrâneo que sempre que haja uma onda de calor terá tendência a existir uma tempestade logo a seguir devido ao efeito da evotranspiração.
Como eu já suspeitava a noticia foi redimensionada para vender jornais !

Jornalismo de século XXI !
 

Aurélio

Cumulonimbus
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23 Nov 2006
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Faro
Nem no inverno me lembro de ver a água do mar a 13ºC, segundo mostra o IPMA. Mas isto já indica temperaturas baixas.

Por acaso pensei que este ano fosse ser mais quente porque com a movimentação das placas tectónicas e a atividade de alguns vulcões marítimos como o de El Hierro pudessem aquecer o Atlantico, mas de correntes marítimas não percebo quase nada.

Dizem que os invernos mais frios foram antecedidos por erupções vulcânicas, o que também houve este ano, mas teoricamente só as sentiríamos para o ano que vem.

Falo sem conhecimento de causa, apenas me interesso por metereologia e mudanças climáticas.

Nota para o fraco verão do ano passado em contraste com anos no inicio deste seculo em que não se podia dormir com o calor!

A parte dos Vulcões tem a ver com as grandes erupções vulcânicas que possam ser capacidade de tapar a visibilidade num grande hemisfério, e devido ao efeito de as particulas poderem ser um tampão á entrada da radiação solar. Esse é o efeito mais conhecido penso eu !
 

Aurélio

Cumulonimbus
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Meus Amigos,

Estamos todos muito influenciados pela «anormalidade» que foram os últimos anos, praticamente desde o início da década de 90, em que sucessivos anos quentes, com alguns Verões muito tórridos, alguns Invernos mais amenos, e sobretudo Primevaras muito antecipadas (Marços muito quentes e secos) e início de Outonos quentes.

Mas recordo-me na minha infância, de ser mais frequente nevar a cotas relativamente baixas, de intensas geadas no interior do país, e por vezes no litoral, dos persistentes nevoeiros gelados no nordeste transmontano, de Primaveras chuvosas e frescas (incluindo as trovoadas de Maio), e de Verões muito suportáveis no litoral (com nortadas e nevoeiros constantes) e normais no interior.

Os últimos vinte anos foram muito específicos, e eu testemunhei bem essa alteração.

Neste momento assistimos a importantes alterações no Ártico, que penso vir a ser o principal motor da próxima fase climática, em conunto com ciclos solares mais débeis, provocando na minha opinião anos mais frios em latitudes médias como a nossa.

Fases de arrefecimento são sempre precedidas por fases de intenso aquecimento, e na minha opinião a próxima glaciação é inevitável, mesmo com a atual influência humana sobre o clima. Logicamente nunca numa escala humana perceptível, mas na minha perspectiva quando daqui a milhares de anos se estudar a nossa atual época, esta será caracterizada como o início da glaciação, com variabilidade climática muito acentuada, como se tem verificado nos últimos mil anos e ainda mais intensamente no último século.

Caso estes dias de Maio fossem de temperaturas acima de 30º e o ano novamente muito quente, não mudaria a minha opinião, para que conste, e para não ser acusado de ser um profeta da glaciação apenas devido a uns meros dias frescos de Maio.

É simplesmente a minha opinião há muitos anos. Estamos a aquecer para congelar.

Cumprimentos a todos.

A Natureza procura sempre o seu estado de Equilibrio a menos que nós o consigamos evitar. É como o ciclo da água !
 

Vince

Furacão
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23 Jan 2007
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Já se percebeu que este ano as previsões sazonais para o Verão se transformaram numa enorme palhaçada mediática. Está a ser difícil decidir sobre quem diz os maiores disparates.
 

Agreste

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29 Out 2007
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Terra
Calor pré-moções na Índia com centenas de mortos - checked...

Primeiras tempestades tropicais no pacífico oriental, #Barbara - checked...

Cheias no sul da China à medida que as chuvas da monção sobem para latitudes mais altas - checked...

Tornados vigorosos nos States - checked...

O tempo no hemisfério norte está normal. Os mecanismos mais importantes estão a funcionar.
 

Agreste

Furacão
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29 Out 2007
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Terra
Mas sempre podemos voltar ao El Niño de 1997-1998 onde eu vi chover granizo no mês de junho em Faro no Algarve e em Monchique ainda apanhei alguns dias de geada em Julho.
 

AlexS

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12 Mai 2013
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Lisboa-Sintra
Mas sabemos que em 1977 tivemos um verão "frio". Pelo menos o mais frio, ao nível de temperaturas máximas, desde 1931.

Será que 2013 terá uma anomalia tão grande como a de 1977?

Qual é a fiabilidade/erro da medição das temperaturas entre os anos 1931,1977 e no presente?
 

stormy

Super Célula
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7 Ago 2008
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Qual é a fiabilidade/erro da medição das temperaturas entre os anos 1931,1977 e no presente?

Os instrumentos na altura não eram digitais, mas eram bons, com margens de erro pouco significativas.
O maior problema, que ainda se hoje põe, é o da relevância dos dados devido á cobertura de estações....antigamente havia menos estações, e hoje temos os problemas da contaminação por proximidade a cidades ou questões como a escolha dos locais onde as colocas e o quão esses locais são representativos das regiões em observação.
 

David sf

Moderação
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8 Jan 2009
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Oeiras / VN Poiares
Previsão da anomalia do geopotencial para o verão, EUROSIP:

P3vRXO9.jpg


Não sou grande apreciador do EUROSIP, é a conjugação de 3 modelos diferentes, o que origina uma grande área a branco (sem sinal significativo), resultante da grande dispersão de previsões.

O UKMO está algo semelhante, o mapa é mais colorido e dá para se perceber melhor a distribuição das anomalias:

JDTOxpb.png


Nota-se a anomalia positiva na costa leste americana e no Mar do Norte. A cumprir-se esta previsão, certamente que o verão seria mais fresco que o habitual (mas haveria verão, nada a ver com os alarmismos que têm enchido a imprensa).

Já a Accuweather, aposta num verão mais quente que o habitual:

yCfIBQv.png
 

joocean

Cirrus
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3 Dez 2010
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Almada
Os instrumentos na altura não eram digitais, mas eram bons, com margens de erro pouco significativas.
O maior problema, que ainda se hoje põe, é o da relevância dos dados devido á cobertura de estações....antigamente havia menos estações, e hoje temos os problemas da contaminação por proximidade a cidades ou questões como a escolha dos locais onde as colocas e o quão esses locais são representativos das regiões em observação.

Esta é uma questão muito interessante e o problema é que os modelos de previsão nas ultimas décadas podem estar a ser "alimentados" por dados de estações com que representatividade?!